Stop à l’Impunité des Professionnels de l’Elevage, demander le bannissement de la fourrure animale dans ce magasin.
Les activistes du Collectif ont manifesté ce 2 novembre devant les Galeries Lafayette à Paris pour demander le bannissement de la fourrure animale dans ce magasin qui continue à vendre des produits de fourrure en dépit de ses valeurs affichées dans ses communications publiques (écologie et progrèsisme).
Ils affirment qu’ils ne mettront fin à leurs actions que lorsqu’ils auront obtenu une déclaration publique d’adoption d’une politique anti-fourrure dans toutes les entreprises du groupe Galeries Lafayette.
Ils ont interpellé son président, M. Nicolas Houzé, au sujet d’une étude qui, selon eux, mettrait en évidence la détection de 125 virus dans des élevages de fourrure, dont plusieurs transmissibles à d’autres espèces.
Cette manifestation fait partie de la campagne de pression internationale lancée en 2023 demandant à MAX MARA de s’engager à adopter une politique anti-fourrure.
Malgré la centaine de manifestations dans plusieurs dizaines de villes d’Europe et des Etats-Unis, devant des magasins et des sièges sociaux appartenant au groupe, MAX MARA continue de refuser d’abandonner la fourrure, (les magasins détenus par Max Mara : Sportmax, Max & Co, Pennyblack, Marina Rinaldi, Persona by Marina Rinaldi, Marell, iBlues, Intrend).
De précédentes campagnes de pression ont réussi auprès de grandes marques telles que St Laurent, Moncler et Oscar de La Renta qui ont définitivement abandonné la fourrure.
La fourrure synthétique a la préférence des personnes qui bénéficient de son poids plus léger, de son absence d’odeur et d’allergie, sa facilité d’entretien ainsi que son prix moindre.
Tandis que les amateurs aisés de vraie fourrure sont sensibles au toucher sensuel de cette matière vivante, doudou qui, de surcroît, tient plus chaud en hiver.
Va-t-on vers une abolition mondiale de la fourrure ?
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