« Dansons, joue contre joue » …
J’avais d’abord prévu de commencer ma chronique par ce couplet.
Mais, avec Dansong, on n’est pas du tout dans le registre aznavourien des « plaisirs démodés », pas du tout.
Lionel Damei a plutôt des accents de Barbara, la volubilité d’un Freddie Mercury, une gestuelle de chat gourmand.
Quant à Léo-Paul Martinello, il entremêle danse contemporaine et urbaine, hip-hop, breakdance, house, électro …
Je me suis ensuite emparé du dossier de presse … Il est d’une telle richesse que j’ai immédiatement réalisé qu’il était impossible d’ajouter quelque mot que ce soit pour s’émerveiller de ce spectacle si puissant et si émouvant.
Quand une pièce me plaît, il y a pour moi des signes qui ne trompent pas.
Je ressens une sorte d’allégresse et mes yeux se mouillent. Un enthousiasme m’envahit, tout comme une énergie puissante qui m’emplit de joie et m’incite à rédiger une chronique sur ce moment d’exception.
Mais cette fois, je m’en abstiendrai, me sentant dans l’incapacité d’apporter quelque chose d’intéressant quant à la critique de cette pièce exaltante.
J’aurais quand même aimé pouvoir écrire que « Dansong est un miracle de poésie et d’équilibre, entre le chant, la danse et la musique » … mais, c’est déjà dit.
Non, vraiment, rien de plus à ajouter.


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