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22 novembre 2024

JOURNAL IMPACT EUROPEAN

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Shy’m se mue

On la connait danseuse et animatrice. On l’apprécie femme provoquante dans des tenues sulfureuses, parfois dessiner par ses soins. Mais, là où Shy’m se sent le plus en accord avec elle-même c’est en tant que chanteuse. Six albums studios, un best of, plus d’un million de disques vendus … des chiffres qui pourraient lui donner le vertige. Et non, même pas peur. Bien au contraire. Ils la boostent davantage.Après « La Go » sorti en fin d’année elle nous présente son nouveau titre très urbain. « Probablement un des plus beaux morceaux qu’on m’ait offerts », commentait-elle sur son compte Instagram.« Absolem » ne sera pas sans surprendre, tant par son univers, son texte que sa musicalité. Ici, exit la performeuse. Dans cet extrait de son nouvel opus à venir « Agacé », la femme de couleur joue la carte de la transparence. Entre ombre et lumière, elle tombe le masque.  « Je suis fatiguée mais je n’ai pas sommeil ». Comme un appel au secours, Tamara, l’écorchée en détresse, lève le voile sur son mal-être.  Elle livre à cœur ouvert ses « maux » par les mots des rappeurs Youssoupha et Kemmler. Miroirs de sa colère, de ses angoisses, de ses doutes, de ses peurs, de ses blessures, de ses ruptures, de sa solitude, des ses excès, de son succès, de sa générosité, de sa célébrité, de son anorexie, de son envie de maternité … tous deux pointent en contrasté des thèmes personnels dans ce morceau de 9 minutes au nom évocateur ; Absolem étant celui donné à la chenille d’« Alice au Pays des Merveilles » dans la version réalisée par Tim Burton. Par cette larve est symbolisée la mue de la femme fragile vers l’artiste de R’nB’. Sur fond de battements de cœur, l’espoir est là qui lui tend les bras comme celui d’une tourne dès le 7 juin prochain.https://www.youtube.com/watch?v=FQv-w5u-LwY [...]

On la connait danseuse et animatrice. On l’apprécie femme provocante dans des tenues sulfureuses, parfois dessinées par ses soins. Mais, là où Shy’m se sent le plus en accord avec elle-même c’est en tant que chanteuse. Six albums studios, un best of, plus d’un million de disques vendus … des chiffres qui pourraient lui donner le vertige. Et non, même pas peur. Bien au contraire. Ils la boostent davantage.

Après « La Go » sorti en fin d’année, Shy’m nous présente son nouveau titre très urbain. « Probablement un des plus beaux morceaux qu’on m’ait offerts », commentait-elle sur son compte Instagram.

« Absolem » ne sera pas sans surprendre, tant par son univers, son texte que sa musicalité. Ici, exit la performeuse. Dans cet extrait de son nouvel opus à venir « Agacé », la femme de couleur joue la carte de la transparence. Entre ombre et lumière, elle tombe le masque.  « Je suis fatiguée, mais je n’ai pas sommeil ». Comme un appel au secours, Tamara, l’écorchée en détresse, lève le voile sur son mal-être.  Elle livre à cœur ouvert ses « maux » par les mots des rappeurs Youssoupha et Kemmler. Miroirs de sa colère, de ses angoisses, de ses doutes, de ses peurs, de ses blessures, de ses ruptures, de sa solitude, des ses excès, de son succès, de sa générosité, de sa célébrité, de son anorexie, de son envie de maternité … tous deux pointent en contrasté des thèmes personnels dans ce morceau de 9 minutes au nom évocateur ;  « Absolem » étant celui donné à la chenille d’« Alice au Pays des Merveilles » dans la version réalisée par Tim Burton. Par cette larve est symbolisée la mue de la femme fragile vers l’artiste de R’nB’. Sur fond de battements de cœur, l’espoir est là qui lui tend les bras comme celui d’une tournée dès le 7 juin prochain. On a hâte.

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