Véronique YANG
Pour sa seconde visite à Paris, Dorothée Cambier est allée à la rencontre de la presse et a parlé de ses projets depuis sa première exposition dans le Marais en décembre dernier.
Dorothée est née en Belgique, non loin de la Mer du Nord. Très jeune, elle était fascinée par l’eau et s’y trouvait dans son élément. C’est son père, peintre issu du monde du textile et architecte d’intérieur qui lui a transmis son goût de peindre.
En 2002, elle commence à peindre puis s’intéresse à la technique submarine. Cela lui impose de s’immerger avec des bouteilles d’oxygène et l’utilisation de toiles et peintures spéciales. Après avoir peint, elle remonte à la surface, attend que ça sèche puis continue à nouveau sous l’eau. Sa première expérience s’est faite au large de l’Espagne. Durant l’hiver, elle peint dans son atelier mais son thème préféré reste l’eau et la mer.
Depuis notre dernière rencontre, elle a achevé quelques nouvelles toiles dans son atelier mais elle a hâte que le temps se réchauffe pour retourner peindre sous l’eau car c’est l’endroit où elle traduit le mieux ce qu’elle ressent et les messages qu’elle a à faire passer.
Dorothée Cambier est une artiste peintre qui aime l’eau, la mer et tout ce rapproche. Elle sait faire partager sa passion avec les admirateurs de ses toiles.
Dans l’avenir, elle aimerait pouvoir participer à des salons d’art contemporains comme Paris Art Fair, le Marché d’Art Contemporain ou la FIAC mais aussi exposer dans des galeries à travers l’Europe ou pourquoi pas le monde entier. Son but est avant tout de faire découvrir la peinture subaquatique. Elle prévoit d’ailleurs des expositions sur la Côte belge et à Londres d’ici l’automne.
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