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21 novembre 2024

JOURNAL IMPACT EUROPEAN

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Géopolitique des Frères Musulmans: l’assaut d’une idéologie totalitaire

L’organisation s’opposait à l’existence même d’États laïques où que ce fût au sein des sociétés musulmanes du Moyen-Orient.

Comment le radicalisme a-t-il été créé et pourquoi ?

Le radicalisme musulman peut être divisé en deux grandes branches principales : le radicalisme violent, djihadiste, dont l’arme principale est l’attentat, et le radicalisme «systémique» qui s’oppose à l’intégration dans la République de ceux qui pratiquent la religion musulmane. Les Frères musulmans se rattachent à cette deuxième branche.

Beaucoup moins visibles du public, ils n’en sont pas moins très efficaces, car ils s’appuient sur une doctrine historique, une stratégie globale et des moyens financiers puissants.

La Confrérie fut lancée en 1928 pour restaurer le califat, soit un gouverment religieux mondial qui avait pour objectif de combattre les «incroyants» (en particulier les chrétiens, les hindous et les juifs) et de répandre l’Islam. L’organisation s’opposait à l’existence même d’États laïques où que ce fût au sein des sociétés musulmanes du Moyen-Orient.

La naissance de la doctrine de la «Renaissance» islamique, contre l’emprise laïque occidentale

La doctrine «frériste» naît donc par opposition au modèle culturel et sociétal occidental. Un regard sur l’emblème du mouvement, le Coran, et deux sabres croisés, est intéressant, il appelle au combat, surtout si on y ajoute la traduction du texte qui y figure: «Préparez-vous»…

Elle est articulée autour de la «Renaissance» islamique, contre l’emprise laïque occidentale et l’imitation aveugle du modèle européen.

Le fondateur de «la société secrète des Frères musulmans» en 1928, à Ismaïlia, dans le nord-est de l’Égypte, est Hassan Al Banna, un père très religieux et une jeunesse très impliquée dans des associations religieuses conservatrices le conduiront à cette création. Il est intimement convaincu que le seul moyen d’affranchir son pays de l’empreinte culturelle britannique (l’Égypte est alors sous mandat de la Grande-Bretagne) est de développer un islam social.

Les Frères musulmans assassinèrent le Premier ministre Mahmud Fahmi Nuqrashi en 1948; ils complotèrent l’assassinat du président Gamal Abdel Nasser au début des années 1950. Une ramification de la Confrérie, Al Jihad, dirigée par Ayman al-Zawahiri, futur n°2 d’Oussama Ben Laden, assassina le président Anouar el-Sadate en 1981 et tenta d’assassiner le président Hosni Moubarak en 1995.

Un autre personnage égyptien, Sayyid Qutb, est considéré comme la tête pensante du mouvement. Il publia, entre autres, Jalons sur le chemin de l’islam, théorisant la démarche du mouvement. L’arrivée au pouvoir de Mohamed Morsi, et du mouvement des Frères musulmans, à la suite de la chute du président Moubarak, fut une étape importante pour la confrérie, même si elle fut de courte durée (368 jours).

Cette confrontation du monde musulman avec le monde occidental n’a pas eu lieu seulement dans un cadre «exogène», à savoir entre le monde extérieur et le monde islamique. Ce choc avec le monde contemporain a également eu lieu de façon « endogène » à l’intérieur même du monde musulman. Cette confrontation n’a d’ailleurs pas eu lieu dans un seul pays mais dans deux pays, représentants les deux courants principaux de la religion musulmane, le sunnisme et le chiisme, la Turquie et l’Iran.

En Turquie, après la Seconde Guerre mondiale, celui qui allait devenir Mustapha Kemal Atatürk entreprit la construction d’une Turquie moderne dans le cadre d’une république officiellement laïque.  Énorme premier choc d’une séparation entre l’État et le religieux, entre le droit et la religion musulmane, dans un pays musulman. L’émancipation féminine avec le droit de vote accordé aux femmes est votée en 1934.

D’un tel changement, rapide, radical, la Turquie en ressent encore, actuellement, les vibrations idéologiques et politiques. C’est à la suite de ce choc, qu’il faut placer le « contre-choc » du leadership politique turc, actuel, islamique et conservateur et, donc, sa proximité avec les Frères musulmans.

L’Iran, dans un cadre institutionnel différent, connaîtra après la Seconde Guerre mondiale, et trente ans après la Turquie, la même confrontation entre un État laïcisant et le religieux. Le Shah supprimera l’obligation pour les ministres de prononcer leur engagement sur le Coran. Une telle séparation et rupture entre l’État et le religieux, et d’autres réformes sociétales, créeront le terreau et la base de la contestation autour de l’Ayatollah Khomeini. Le retour violent du religieux en Iran s’explique en grande partie par cet élan réformateur et la rupture entre le religieux et la structure de l’État.

La vision des Frères musulmans s’est donc également trouvée alimentée par des tensions internes aux pays musulmans eux-mêmes.

Le mouvement s’était réjoui de l’arrivée au pouvoir en Iran de l’Iman Khomeini. Cela explique le regard bienveillant actuel de la République islamique d’Iran vis-à-vis des Frères musulmans et du pouvoir turc.

Les Frères musulmans restent extrêmement opposés à la civilisation occidentale et à une résolution pacifique du conflit israélo-arabe. Le Hamas en est une ramification.

Ses conceptions peuvent être décrites comme:

  • Libertés politiques: contrairement aux démocraties de type occidental qui garantissent la participation à la vie politique de tout citoyen indépendamment de son idéologie, de ses opinions et de sa religion, les Frères musulmans font dépendre cette participation des individus à la vie sociale de la soumission aux principes de la charî‘a islamique.
  • Liberté de croyance: les Frères musulmans ne garantissent la liberté de croyance qu’aux adeptes des trois religions révélées (abrahamiques), soit les «gens du Livre».
  • Libertés individuelles: alors que les démocraties occidentales garantissent une totale liberté aux individus aussi longtemps que ceux-ci n’empiètent pas sur la liberté des autres, les Frères musulmans encadrent la liberté de pensée dans les paramètres moraux de la charî‘a. Ils prônent la restauration de la hisba qui autorise n’importe quel citoyen à poursuivre n’importe quelle personne qui se serait rendue coupable d’un acte considéré par le plaignant comme une violation de la charî‘a même si ce dernier n’a pas été personnellement lésé par un acte semblable.
  • Droits des femmes: dans les démocraties de type occidental, les femmes jouissent des mêmes droits politiques que les hommes; elles peuvent occuper les mêmes fonctions publiques et participer à la vie politique sans quelques restrictions fondées sur le sexe que ce soit. En ce qui concerne les Frères musulmans, la participation des femmes à la vie politique serait limitée aux élections municipales; pas question qu’elles soient par exemple chef de l’État. Et de façon à accentuer encore cette marginalisation et exclusion des postes significatifs de la vie publique, les Frères appellent à l’élaboration de programmes pédagogiques comportant des documents appropriés spécialement aux femmes et adaptés à leur nature/à leur rôle tels qu’ils les perçoivent. Outre ces manuels particuliers, ils insistent sur une complète ségrégation des sexes dans les salles de classe, dans les transports publics et sur le lieu de travail. C’est la représentation des femmes comme êtres inférieurs telle qu’elle s’est affichée au Koweït où les islamistes bloquèrent provisoirement l’approbation d’une loi garantissant des droits politiques aux femmes.
  • L’économie: les Frères musulmans appellent à l’établissement d’un système économique fondé sur le respect de la propriété privée ; mais ils prônent dans le même tempes le respect des principes de la charî‘a laquelle fait de l’intérêt bancaire un crime. Ils plaident également pour la nationalisation par l’État des services publics.
  • Le système de gouvernement: contrairement à la démocratie qui est fondée sur l’alternance pacifique du pouvoir par le biais d’élections, les Frères musulmans appellent à un système reposant sur les principes de la charî‘a et à la renaissance du califat islamique.
  • Société civile: la liberté de circulation dont les organisations de la société civile jouissent dans une démocratie dépendraient dans un système islamique de la conformité aux principes de la charî‘a.
  • Gouvernement: les Frères musulmans sont opposés à la notion d’État reposant sur des institutions démocratiques; ils appellent au contraire à la formation d’un gouvernement islamique fondé sur la Sūra (assemblée consultative), la vénération du leader et l’investiture d’un Guide suprême ; ils sont en cela proches du système iranien.
  • Libertés politiques: tandis que le pouvoir judiciaire surveille l’action de l’État de façon à en garantir la conformité aux règles de la démocratie, c’est dans l’esprit des Frères musulmans à eux-mêmes que revient la surveillance de l’action de l’État pour garantir que celle-ci est conforme aux règles de la charî‘a.
  • Conflit israélo-palestinien: les Frères musulmans furent les premiers à envoyer des volontaires combattre l’État d’Israël à sa fondation en 1948; ils n’ont jamais cessé de s’opposer aux tentatives de résolution pacifique du conflit, en particulier aux accords de paix initiés par feu le président Sadate; il est correct d’affirmer que les Frères musulmans ne reconnaîtront jamais la légitimité de l’État d’Israël.
  • Minorités religieuses: bien que les Frères musulmans égyptiens n’aillent pas aussi loin que leurs homologues d’Arabie saoudite où la construction de lieux de culte pour les non musulmans est interdite, ils excluent tout non musulman de la présidence et prônent la subordination des non musulmans aux principes de la charî‘a sur lesquels repose tout leur système.
  • Tout cela n’empêche pas que le traitement brutal et souvent illégal auquel est soumise la Confrérie, reste juridiquement inacceptable et contre-productif dans la mesure où les postures s’en trouvent des deux côtés durcies. En fait, le seul moyen de résoudre le problème avec les islamistes est le dialogue, l’ouverture de canaux de communication et un franc échange de vues. Il n’y que par le débat qu’on peut transformer un parti religieux en en parti politique civique, susceptible de souscrire aux principes essentiels de la démocratie : acceptation de l’« autre », alternance du pouvoir, respect des autres religions et des femmes. Semblable transformation sera accomplie quand l’Islam politique aura renoncé à la déformation qu’il fait subir à notre religion en la présentant comme une doctrine enracinée dans le Moyen Âge et qui reflète la mentalité de Bédouins grandis dans un désert implacable. La société civile est en droit de se protéger de tout groupe qui reste enfermé dans l’anachronisme et souhaiterait nous renvoyer tous dans un lointain passé.
  • De même qu’une réforme en Égypte vaut mille fois mieux que la prise du pouvoir par quelque alternative que ce soit, une réforme de l’Arabie saoudite vaudrait mille fois mieux que des alternatives plongeant la région entière dans un chaos sans précédent. Maintenir la stabilité de l’Arabie saoudite et de tous ses voisins est un impératif. Mais on ne pourra garantir cette stabilité sans mener une opération historique contre les extrémistes. La question est de savoir si les éléments sensés d’Arabie saoudite vont suivre un chemin similaire à celui qu’avaient emprunté leurs fameux ancêtres il y a 80 ans (quand ils se débarrassèrent des guerriers wahhabites) ou bien s’ils vont poursuivre la coexistence jusqu’à ce que le bateau coule avec tous les passagers.

Création de la branche armée et participation à la guerre de 1948 contre Israël

En 1935, l’organisation entre en contact avec Amin al-Husseini, le grand mufti de Jérusalem, et participe à l’insurrection arabe de Palestine de 1936. En 1945, Saïd Ramadan crée une branche armée arabe de Palestine du mouvement, qui a pour objectif de combattre le mouvement sioniste. Les Frères musulmans connaissent du succès et de nombreux militants participent à la Guerre israélo-arabe de 1948.

La guerre israélo-arabe de 1948, également nommée guerre de 1948, guerre de Palestine de 1948, guerre d’indépendance ou guerre de la Libération et al-Nakba (nom donné par les Palestiniens arabes pour cette période : « la Catastrophe »), est la guerre qui mena à la fondation de l’État d’Israël et à la naissance du problème des réfugiés palestiniens. Elle marque également le début de l’exode des communautés juives du monde arabe.

La guerre de 1948 s’est déroulée en deux phases:

  • Du 30 novembre 1947 au 14 mai 1948, la Palestine toujours sous mandat britannique connaît une période de guerre civile, marquée par l’affrontement entre d’un côté des organisations armées juives et de l’autre, des Palestiniens arabes, soutenus par des volontaires provenant de pays arabes.
  • À partir du 15 mai 1948, date de la fin du mandat britannique et de la fondation de l’État d’Israël, commence la première guerre israélo-arabe avec, à la suite de la débâcle des arabes palestiniens, l’intervention militaire de pays arabes contre Israël et l’envoi de corps expéditionnaires égyptien, syrien, irakien et transjordanien sur l’ancien territoire de la Palestine. Divers armistices sont signés entre février et juin 1949.

Cette approche anachronique de la religion, beaucoup la vivent de manière semi-passive, en se repliant sur eux-mêmes pour se protéger du monde qui les entoure, revendiquant de manière radicale le respect de leurs interdits. Mais c’est aussi cette haine du monde moderne et de l’Occident qui peut entraîner certains d’entre eux à vouloir passer à l’action et à se rallier à des mouvements terroristes, ou à « s’auto-investir » d’une mission terroriste sur le modèle proposé par Daesh.

Pour y parvenir, les Frères musulmans sont convaincus qu’il faut éveiller les consciences arabes et musulmanes, qu’il faut rendre les gens fiers de leur identité arabe et musulmane, et qu’ils la revendiquent en s’opposant au mode de vie « à l’Européenne » qui est une poursuite du colonialisme. Dans cette démarche très politique, le rôle des associations est depuis toujours primordiale. Auprès des jeunes, des familles en détresse, actions éducatives, caritatives, sportives culturelles… L’objectif étant d’éduquer à une nouvelle manière d’être.

Par voie de conséquences, les Frères musulmans ont pour objectif d’accéder au pouvoir pour faire changer la société. Ce courant a essaimé dans les pays arabes ; Ennahdha en Tunisie, Le PJD au Maroc (qui dirige le gouvernement), en Egypte bien sûr, ou dans la bande de Gaza avec le Hamas. Les Frères musulmans fonctionnent comme une « internationale sunnite » avec parfois des oppositions, mais aussi avec beaucoup de financements venant des « grands frères » des pays du Golfe.

La création d’une nébuleuse financière et d’influence durant les années 1980 et 1990 en Europe

Les années 1980 et 1990 voient également un déploiement d’activité au sein de la mouvance européenne des Frères musulmans, qui crée plusieurs organisations (UOIE, UOIF, CEFR…) visant à placer les communautés musulmanes en pleine croissance sous leur influence, et s’efforce d’être reconnue par les gouvernements comme représentante officielle de ces communautés.

Les Frères musulmans se dotent d’institutions financières propres (banque Al-Taqwa, Fonds européen), le soutien direct des institutions saoudiennes comme la Ligue islamique mondiale (LIM) étant devenu aléatoire. En effet, après le soutien du mouvement à l’invasion du Koweït par Saddam Hussein, l’Arabie saoudite prend ses distances avec lui, laissant ainsi son rôle de protecteur au Qatar, dont le cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani est persuadé que l’islamo-conservatisme des Frères correspond aux aspirations profondes des peuples arabes.

L’expansion mondiale des Frères musulmans doit alors beaucoup au soutien du Qatar. Cet État devient leur banque mondiale et la première chaîne de télévision internationale arabe, Al Jazeera située également au Qatar, joue un rôle décisif dans la diffusion.

En 2007, reconnaissant leur poids au Proche-Orient, le gouvernement des États-Unis s’intéresse de nouveau à une alliance avec les Frères. Le Département d’État des États-Unis approuve une politique de contacts futurs entre des diplomates américains et des leaders du mouvement dans les pays arabes.

Quand le printemps arabe éclate, al-Jezira se fait la caisse de résonance de la révolution sous la tutelle des Frères en Égypte, en Libye, en Syrie, au Bahreïn puis au Yémen. Mais, les régimes arabes saisissent le danger que représentent pour eux ce mouvement de contestation. Ils se retournent contre la chaîne télévisée et commencent à prendre distance vis-à-vis du Qatar. Face aux menaces, les gouvernements arabes repriment partout l’organisation transnationale « souvent avec grande brutalité ».

Les Émirats arabes unis et l’Égypte décrètent la Confrérie organisation terroriste. L’organisation tunisienne, qui redoute également d’être interdite, est contrainte de signer un pacte constitutionnel, renonçant à la charia, à l’inégalité des femmes et acceptant la liberté de conscience.

Après que le pouvoir égyptien a emprisonné en juillet 2013 la direction mondiale des Frères, l’organisation passe sous la tutelle de la Turquie et du Qatar.

Cette main-mise de ces deux pays sur l’organisation transnationale islamique n’a pas été sans susciter une hostilité croissante des États arabes. Cette hostilité se manifeste notamment lors de l’embargo imposé au Qatar en 2017.

Les Frères intensifient leur contrôle sur la Turquie, notamment dans les mois qui suivent le coup d’État de 2016. Bloqués dans le monde arabe, les Frères musulmans se redéploient vers l’Europe avec le soutien du gouvernement turc.

Un dispositif élargi

L’organisation du mouvement est largement internationale. Cela devrait aider à définir des axes complémentaires pour s’opposer à son action.

Tout d’abord, sa présence européenne devrait inciter à intégrer nos partenaires en Europe dans une réflexion commune. Ensuite, sur le court terme, des actions ou dispositifs, s’ils ne sont pas identiques, pourraient être mis en place de façon coordonnées.

La chute du pouvoir religieux en Iran sera ressentie dans l’ensemble du monde musulman, et surtout dans les mouvements les plus conservateurs. Un rejet dans un pays de 81 millions d’habitants aura des répercussions dans toute la société musulmane. Il en est de même en Turquie.

Enfin, si le rôle de structures qatariennes apparaît important dans le soutien au « mouvement frériste », d’autres acteurs étatiques, de la région du Golfe, œuvre dans une direction diamétralement opposée. Les Émirats arabes unis montrent, et depuis des années, un engagement constant contre l’Iran et les mouvements islamiques radicaux.

Sachons aussi échanger avec des partenaires qui sont, eux, géographiquement et politiquement au milieu du combat.

 

Gabriel MARTINEZ-GROS (professeur des univertités émérite)
Anne-Clémentine LARROQUE (Experteés-terrorisme auprés des tibunaux)
Michael PRAZAN – DOCUMENTARISTE
Jean-Michel FAUVERGUE ancien chef du RAID
Gabriel MARTINEZ-GROS (professeur des univertités émérite)
Gabriel MARTINEZ-GROS (professeur des univertités émérite)
Frédéric ENCEL (Dr HDR en geopolitique à Paris School of Business)
Frédéric ENCEL (Dr HDR en geopolitique à Paris School of Business)

 

 

 

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