GERARD CROSSAY
Le candidat a tenu ce vendredi 20 janvier son unique meeting de campagne.
Plus de 800 militants convaincus ont assisté à cette réunion publique du premier tour.
Anne HIDALGO, la maire de Paris, était présente. Dans un discours exalté, elle a confirmé son soutien total à l’ancien ministre de l’Éducation, en rappelant sa proposition de « new deal » européen pour relancer l’investissement et créer des emplois.
Au premier rang, on remarquait aussi une personnalité d’envergure, Mazarine Pingeot, invitée emblématique.
Vincent PEILLON, sans aucune note, dans une intervention d’une quarantaine de minutes, a appelé au rassemblement.
« Trop d’années d’opposition, de querelles, de fractures à l’intérieur de la gauche et du parti socialiste » a-t-il déclaré, mais sans évoquer ses propositions de campagne.
L’ex-professeur de philosophie a délivré aux sympathisants socialistes une leçon d’optimisme et d’histoire de la gauche, de 1936 à nos jours.
« La gauche n’a jamais gagné sans les socialistes » a-t-il réaffirmé à l’intention de Jean-Luc MÉLENCHON et d’Emmanuel MACRON.
« Ils nous disent ça va être difficile … on le fera ! » a-t-il terminé sous un tonnerre d’applaudissements, suivi d’une Marseillaise.
PHOTOS: IMPACT EUROPEAN / WPA – GERARD CROSSAY
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