Un enfant qui ne savait pas ce qu’il allait faire dans la vie, vu que son père était un docker, regarda l’univers pour trouver une réponse qui lui donna une ouverture dans le monde culturel.
La première porte ouverte était de devenir comédien, où il a fait les premiers pas dans le théâtre, puis joué comme acteur dans dizaines de films, mais aussi dans des séries télévisées, jusqu’à ce qu’il parvienne à trouver l’énigme dont les étoiles parlaient, qui devait devenir peintre.
Après le cinéma, le théâtre … il a finalement transposé ses émotions non plus sur un écran blanc de cinéma, mais sur des toiles. Jean Dolande est devenu un artiste peintre français, vivant à Paris. Il voyage régulièrement en Asie, à Dubaï, aux Etats-Unis et en Europe pour ressentir le monde.
Mais qui est Jean DOLANDE et quelles sont les énigmes de son univers ?
Jean DOLANDE est né à Rouen le 29 décembre 1959, dans la ville où Jeanne d’Arc a été brûlée sur le pieu. Dans sa jeunesse, Jean DOLANDE est allé à l’école d’acteur à Actors Studio où il a eu l’acteur Jack Waltzer comme enseignant.
Ayant un vrai comédien comme professeur, Jean DOLANDE a réussi à découvrir le monde du cinéma et de la télévision, grâce à Jack Waltzer, chaque cours éclairait les énigmes découvertes par les étoiles dans son enfance. C’est ainsi que le comédien Jean DOLANDE commence à faire ses premiers pas dans le théâtre et la cinématographie, donnant vie au scénario de sa carrière d’acteur, qu’il abandonne en 1994, pour se consacrer aux beaux-arts.
Dans sa carrière cinématographique, Jean DOLANDE a joué dans 9 films, mais le dernier rôle a eu un grand impact sur l’acteur, « Le Dénommé » de Jean-Claude Dague, une réalité du quotidien, un synopsis qui met en lumière la vie de famille, d’un père dévoué, mais aussi de la vie sociale économique.
Jean DOLANE, joue le rôle d’un petit chef d’entreprise qui commet un braquage et est condamné à huit ans de réclusion criminelle. Il devient un matricule. Il se retrouve dans l’univers terrifiant du milieu carcéral où l’homme n’est pas traité en homme, fatalement il devient une bête ou un voyou, des années qui deviennent un cauchemar, mais aussi où il comprend qu’une personne ordinaire est coupable quoi qu’il arrive fait dans la société.
En 1990, il découvre le cinquième sens de l’art, la peinture, un point d’émotion à partir duquel chaque artiste expose et nourrit toute âme assoiffée d’art.
D’où il expose l’art qu’il vit intensément passer des heures d’affilée, vivant en studio devant un écran blanc, comme l’appelle l’artiste, chaque peinture expose mon passé cinématographique, imaginant que c’est un film où je découvre le point de l’art.
Qu’est-ce qui vous a déterminé à devenir peintre ?
Avant d’être peintre, j’étais comédien, dans mon métier j’ai appris à exprimer la sensibilité, … cinéma, théâtre, … j’ai compris que je peux transmettre la sensibilité non seulement sur un écran blanc au cinéma ou dans un théâtre, et sur une toile, d’où chacun peut nourrir son âme.
L’univers d’un artiste peut-il raviver son émotion ?
Je suis un chercheur d’émotions, j’ai expérimenté la parole, puis le geste du mime ; J’ai voulu transposer le même émotion sur la toile. Le privilège de ne dépendre de personne, d’être seul avec ma toile, la liberté d’aller aussi loin que je souhait, sans restriction, et avec toute l’intensité que j’aspire. Comme la toile que j’ai réalisée avec des cartouches 9mm et 32mm, bleu, blanc et rouge, que je donnerai à Eric Zemmour.
L’émotion est pure, ultime et vibrante et permet d’approcher une vérité, elle vous projette au-delà de vous-même : elle embellit tous ceux qui sont touchés par sa grâce.
Les couleurs ont un impact vibratoire sur chacun de nous et nous permettent de réinitialiser nos énergies. Imaginez la vie comme un système composé de vibrations multiples et infinies parmi lesquelles les êtres humains agissent comme émetteurs, récepteurs de vibrations.
Par exemple, le rouge est une couleur extrêmement populaire en Chine, les chinois adorent mes peintures, en raison des couleurs rouges qui représentent le bonheur et la prospérité. En mars 2013, j’ai été récompensé à SHANGHAI, « l’artiste étranger le plus influent en Chine », par le « Award of Art China ». J’aime beaucoup l’Asie, la Chine est comme mon pays, je me sens plus chinois qu’eux, en fait j’aurais dû être en Chine aujourd’hui, mais à cause de la crise sanitaire je suis à Paris, j’espère partir en septembre.
Pourquoi vous considérez-vous comme un « Dénommé »?
Considérant que l’art m’a ennobli de sa splendeur et j’ai même apporté mon émotion au spectateur, quel que soit mon rôle au cinéma, au théâtre ou en tant qu’artiste aujourd’hui … chaque âme a trouvé un soulagement ou un plaisir dans ce que j’ai construit, je me considère comme un dénommé , voyant comment chaque visage brille sur mes toiles, comment vit un état de sensualité cosmique, entre les œuvres que j’ai créées et leur soif d’art.
Quel est le point le plus remarquable, après le prix obtenu en Chine, jusqu’à aujourd’hui ?
J’ai réussi à exposer une minute une toile au Louvre, au musée des morts, je l’appelle « Père-Lachaise de l’Art » car seules des toiles de peintres morts sont exposées.
Pendant plus d’une minute, a accroché sa peinture avec de la pâte à fixer avant d’être arrêté par le service de sécurité du musée. Il est reparti libre trois-quart d’heures plus tard.
Que ferez-vous dans 20 ans ?
Je ne sais pas, peut-être que je suis entre les étoiles et que je regarderai ce qui se passe dans l’espace, je pense que je serai mort… Je ne sais pas combien de temps je dois vivre… tout le monde s’en va du ce monde, un jour. Mais d’ici là je vais peindre et me préparer à partir en Chine pour de nouvelles expositions et partout dans le monde comme avant.
More Stories
Fini la comédie ! Confidences à Dalida
Des jambons au cœur d’une querelle de clocher !
Paris rend hommage aux victimes du 13-Novembre, neuf ans après