Laurent Bariohay est l’auteur de « Louis XVI-Ils me prennent la tête! », un one-man-show mis en scène par Laurie Jesson ( par Robert Manara entre 2013 et 2017) dans lequel il interprète le roi Louis XVI qui fait ses confidences sur sa passion de l’horlogerie, sa vie, sa famille, son peuple, son époque …
Dans ce premier one-king show, c’est avec beaucoup d’humour que le roi s’adresse à la salle, sans langue de bois. Il s’agit aussi d’une rétrospective historique dans laquelle sont évoqués ses aïeux , le Grand Louis XIV et Louis XV. Il y mêle également les inventions, dont celle d’un certain Monsieur G. et la technologie actuelle avec la cassette, le CD, la clé USB, le portable ou l’ordinateur, de façon anachronique. Nous assistons à un spectacle pédagogique, une version intime et moderne pour apprendre une partie de l’histoire de France. Il y a aussi la discussion avec un certain Momo (Mozart).
Synopsis
« Etre roi en 1789 est une sacrée prise de tête! »
Louis XVI, roi de France, n’a pas la vie facile tous les jours. En 1789, il doit faire face à un peuple au bord de la Révolution, des valets qui ne comprennent rien, une cour qui ne pense qu’à elle même, des dîners officiels au son des menuets comme au temps de Louis XIV et sa femme Marie-Antoinette, ce qui ne lui laisse plus beaucoup de temps pour se consacrer à sa passion de l’horlogerie..
Un spectacle drôle, touchant et contemporain
Ce seul-en scène fut présenté pour la première fois à Avignon en 2013, au « Coin de la Lune; salle du Collège de la Salle en 2014 puis 3 années de suite à la Maison IV de Chiffre mais aussi en 2019, La même année, on le retrouve à l’Archipel à Paris après une tournée nationale,
Le spectacle « hors du temps, drôle et décalé va révolutionner la vision de l’Histoire de France! » selon l’auteur.Daniel Lucarni est responsable de la musique; Patsy Stone de la création des costumes et des accessoires (style Louis XVI, oblige!!!).
Tout dans ce divertissement relate l’histoire de Louis Capet qui apparaît dès le début de la pièce assis dans son fauteuil, la canne à la main. Ce roi qui aimait son peuple malgré la période de crise dans lequel le pays se trouvait, avait d’ailleurs fait des réformes importantes, plus ou moins bien accueillies.
Par ailleurs, les goûts pour le menuet de son grand-père « Quatorze », comme il l’appelle, n’étant pas les siens, il demande à « Momo (Mozart) de créer quelque-chose de nouveau pour le remplacer.
Désormais en tournée avecde nouvelles dates
Tous les jeux de mots en référence avec le XVIIIème siècle se retrouvent dans ce « One-King show » qui souligne des similitudes avec l’époque actuelle.
Un spectacle historique à ne pas manquer.
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